Blëtz a été chaleureusement accueilli pour une visite des lieux par le directeur, Monsieur Gindt, le médecin de réadaptation, Dr Daoudi Siham, et par le coordinateur & responsable de service Jean-Paul Chennaux. La coopération de Blëtz avec le centre de rééducation gériatrique de Steinfort est exemplaire.
L’accident vasculaire cérébral est dû, soit à l’obstruction d’un vaisseau à destinée cérébrale par un caillot (85-90%), soit à la rupture d’un vaisseau intracérébral (10-15% des cas). La diminution d’apport sanguin vers une région cérébrale, ou la compression de cette région par du sang, entraîne son dysfonctionnement, ce qui conduit le plus souvent à un déficit clinique brutal. Dans notre pays, on compte en moyenne 4 accidents vasculaires cérébraux par jour.
La plupart des patients victimes d’un AVC passent par une rééducation neurologique stationnaire puis ambulatoire. Les offres thérapeutiques « classiques » dans une clinique de réhabilitation neurologique sont la physiothérapie, l’ergothérapie, l’orthophonie, la diététique, la neuropsychologie et l’assistance sociale.
A côté du traitement médical et grâce au soutien des techniques de communications modernes, assistées par ordinateurs, des exercices spéciaux pour le cerveau ainsi que l’implication des proches, la réhabilitation sociale et professionnelle peut commencer tôt. Dépendant de la pathologie, des thérapies innovatives complémentaires peuvent être prises en considération comme p.ex. un exosquelette.
La rééducation médicale peut être assurée par le Rehazenter – Centre Nat. de Rééducation Fonctionnelle et de Réadaptation et les centres gériatique; l’Hôpital Intercommunal (Steinfort), le Centre Hospitalier du Nord (Wiltz), le Centre Hospitalier Emile Mayrisch (Dudelange), la Clinique Saint Marie. Dans d’un centre gériatique la person a droit à 3 mois stationar et 2 mois hôpital de jour (ambulant), donc 5 MOIS DE THERAPIE après un AVC! Après
les 5 mois de personne peut avoir 1X semaine kinésithérapeute (30min)
orthophonie (30min) à envie. Habitude les gens
arrêtes ou n’y
le savent pas !
La survie d’une personne ayant subi une lésion cérébrale entraîne très souvent une vie marquée par un handicap :
La rééducation neurologique ne va pas de soi, mais demande beaucoup d’efforts au patient. La réhabilitation physique requiert une grande assiduité, une détermination certaine et des répétitions permanentes pour permettre au cerveau d’apprendre et de retenir de nouveau. Chaque petit pas vers l’autonomie est d’une importance considérable pour tous.
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